Vous pouvez (et il vous est recommandé de le faire) mettre en place une désinscription aux SMS marketing de vos contacts s'ils envoient un STOP au 36086.
Cependant, l'industrie du SMS ne peut pas garantir 100% de la prise en compte des désinscriptions. Il faut noter que la CNIL est informé de cela et que la situation lui convient (échanges entre les agrégateurs SMS et la CNIL).
Comment fonctionne la gestion des STOP SMS ?
Les Long Codes ainsi que les Short Codes peuvent être utilisés par des parties différentes et non liées. Dans certains cas, l’utilisation d’un Short Code partagé est nécessaire pour respecter les réglementations spécifiques à un pays (par exemple, STOP-SMS en France). La partie à laquelle un message SMS est transmis via un numéro partagé est déterminée soit dynamiquement, soit sur la base de préfixes ou de mots clés. La partie cible, ou le destinataire, est déjà déterminée par l’agrégateur, indépendamment du propriétaire du numéro partagé. Le client est conscient que la détermination dynamique des destinataires des SMS ou de l’expéditeur initial, telle que requise pour l’utilisation partagée d’un numéro de téléphone, peut ne pas toujours être correcte en cas de chevauchements temporels défavorables.
Pourquoi cela ne marche pas à 100% des cas ?
Il est difficile de trouver une explication simple, mais ce qu'il faut retenir c'est qu'il peut arriver que l’agrégateur se trouve dans l'incapacité à pouvoir corréler le STOP SMS avec l'émetteur du SMS envoyé et donc nous transmettre l'information.
En effet, le Short Code utilisé est dynamique et est partagé depuis l’agrégateur auprès de différents prestataire routeur de SMS.
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